Quand le futur touche le présent.

Un jour, cette semaine. Il est 16 heures, quelque part dans une librairie.

Une volée d’escaliers descendue, un virage à 180° plus tard, et 10 mètres plus loin, nous y voilà. Le rayon qui regroupe tous les ouvrages à tendance plus ou moins médicale de la librairie. Des livres de PACES, « 4000 médicaments inutiles ou dangereux », des livres d’anesthésie-réanimation, de cardiologie, de chirurgie digestive, d’oncologie, j’en passe et des meilleures… En clair, beaucoup de livres utiles à ceux qui sont en médecine (quand on a réussi sa PACES plutôt, la loi du Numerus Clausus est implacable). Je les regarde, je les ouvre, je les lis. Je comprends pas grand-chose encore. Normal, je suis en seconde. Dédicasse à la chimie organique. Je me disais aussi, en regardant le hashtag #paces sur Twitter qu’elle posait des problèmes à certains. Il me semble qu’on en voit un peu en Terminale S. J’ouvre un livre d’anesthésie-réanimation, je comprends rien non plus, c’est bourré d’abréviations.  Je n’y comprends vraiment rien, mais je trouve ça plutôt sympa d’aller feuilleter ces bouquins.

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